Une petite sortie béarnaise avec un temps de flahute

Bonjour à tous,

Samedi 1er avril, je suis sorti pour rouler un peu. La météo du week-end n’était pas propice au cyclisme. Mais si on veut un jour réaliser des épreuves d’ultra, il faut pouvoir rouler par tous les temps. Par contre, aucune photo n’a été faite. C’était bien trop humide.

Mon téléphone ayant décidé de faire une mise à jour au moment du départ, je n’ai pas pu charger mon parcours dans le GPS. Pas grave, on va rouler à l’ancienne.

Je pars donc en direction de l’Est avec pour objectif de monter sur le plateau pour passer à Andoins et redescendre par Limendous.

L’avenue du Béarn se passe bien. Je roule à un rythme tranquille afin de ne pas trop tirer sur les genoux. Au niveau du magasin GIANT, je tourne à gauche. Sur le stade d’Idron, c’est entrainement au rugby. Je continue en direction du Cami Salié.

C’est à ce moment que la météo décide de laver mon vélo et le cycliste avec. La pluie et le vent m’accompagne quasiment jusqu’à Limendous.

A Limendous, je redescends par une nouvelle route pour mon vélo. La météo n’est pas super. On continue pour descendre dans la Vallée de l’Ousse.

De là, c’est un classique, on chemine vers Bizanos pour remonter par l’avenue Trespoey à Pau.

Une sortie humide mais qui fait du bien.

@ bientôt

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Mes montures actuelles et passées

Bonjour à tous,

Aujourd’hui, ce sera un petit post pour vous présenter quelques unes de mes montures actuelles et passées.

Cannondale CAAD 10 de 2010

Je vais commencer par mon premier vrai vélo de route.

Mon CAAD 10 de 2010

Mon CAAD 10 de 2010

Mon CAAD 10 de 2010 vu de face

Mon CAAD 10 de 2010 vu de face

Il n’a pas eu de petit nom mais il a roulé près de 4500 km en ma compagnie du 15 octobre 2011 au 02 décembre 2015.

C’était un Cannondale CAAD 10 de 2010 monté en Shimano 105.

Sur les photos ci-dessus, on le voit en configuration de rando light. J’avais monté ma selle Berthoud Aspin que j’avais sur ma randonneuse « Le Marnais Voyageur ».

Cannondale CAAD 10 de 2014 dit « Black Runner »

Je poursuis par « Black Runner » mon vélo de route actuel qui en est déjà à 3770 km avec moi.

"Black Runner"

« Black Runner »

C’est donc un Cannondale CAAD 10 de 2014 qui est équipé actuellement d’une transmission Ultegra complète 11 vitesses (50/34 et 11/32).

Sur la photo qui date déjà, il est comme il est aujourd’hui en 2023.

Il est chaussé de roues artisanales montées par Jp1RacingBike (Moyeu SON à l’avant, moyeu HOPE Mono RS à l’arrière avec jantes Notubes Alpha 400 en 32 trous).

Au niveau du trône, ce n’est plus une selle Berthoud en cuir mais une selle Brooks en  cambium.

Je roule avec la sacoche Orlieb Ultimate 5 à l’avant et la sacoche Ortlieb (ancêtre de la SADDLE-BAG TWO moderne).

Bien que j’ai dans l’idée de changer de monture pour passer sur une machine « plus moderne » notamment pour avoir des freins à disque et une transmission moins dure pour mes 112 kg et mes genoux vieillissants. Je pense que je vais encore rouler pas mal avec lui.

Lors de l’ouverture de la saison 2023 du CODEP 64, il a affronté sans souci les routes sales de ce mois de mars riche en giboulées.

Sobre Multi de 2010 – montage perso

Je vais finir par mon Sobre Multi qui n’a pas de petit nom.

Mon Sobre Multi de 2010

Mon Sobre Multi de 2010

J’ai assemblé intégralement ce vélo avec l’aide de Mario.

Depuis près de 12 ans (première sortie le 26 avril 2011), je n’ai quasiment rien touché sur le vélo. Tout est d’origine.

Je ne fais plus beaucoup de VTT avec. Mais il me sert à tirer la remorque des enfants. C’est devenu le vélo à tout faire.

Sa transmission 3×9 est plus que démodée à l’ère du mono plateau en 12 vitesses sur les VTT modernes. Je ne parle même pas de la transmission GX Eagle T-Series de SRAM où on change de dimension.

Les manquants

A cette galerie de photos, il manque deux autres vélos importants.

« Yellow Jumper »

Tout d’abord, il manque mon second VTT de ma vie de cycliste (après un Peugeot Meteor que j’ai eu au collège dans les années 1990). C’était un Decathlon Rockrider 5.3 jaune de 2000.

En 10 ans (du 01/02/2000 au 24/08/2011), j’ai parcouru près de 11000 km avec lui. Nous sommes allés en Espagne sur le chemin de Saint-Jacques de Compostelle en 2007.

J’ai réalisé mon premier BPF, la Province Touraine, en 2009. Depuis, je rêve de continuer à explorer les paysages de France.

J’ai gouté à l’Enfer du Nord en réalisant un raid Paris-Roubaix VTT en 2009.

En 2007, avec Mario, j’ai roulé sur l’ancêtre de la Vélodyssée (qui à ouvert en 2012). C’est lors de la boucle sur Noirmoutier de 142 km que j’ai appris à m’hydrater et ce qu’était la déshydratation…

J’ai aussi gouté à la compétition loisirs lors de 24h VTT de Cergy.

En tant qu’adhérent au club de La Norville qui organise annuellement la 91, j’ai pu faire baliseur et patrouilleur plusieurs fois sur cette manifestation.

Bref, ce vélo jaune en acier m’a permit de faire beaucoup de chose à son guidon.

« Le Marnais Voyageur »

Ensuite, il manque mon premier vélo d’artisan français. « Le Marnais Voyageur » était une randonneuse acier conçue par les Cycles Pierre Perrin à Egly (91) autour du célèbre moyeu Rohloff.

A son guidon, j’ai réalisé près de 1700 km. Je me suis entrainé pour faire Paris-Brest-Paris 2011. J’ai roulé mon premier BRM 300 à Tours en 2010. Au bout de 100 km, j’ai mis pied à terre. J’étais déjà hors délai et je n’avais pas bien géré l’alimentation.

Depuis le PBP me fait toujours rêver et les BRM aussi.

Voilà pour le tour des vélos de ma vie de cycliste de près d’un quart de siècle. Elle m’a apporté beaucoup de bonheur et je compte bien encore rouler longtemps. Le Béarn est une superbe région.

@ bientôt

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Tableau de bord des résolutions 2023 – 3/12

Bonjour,

Le printemps est là avec la fin du mois de Mars qui connait aussi son lot de giboulées. Il est temps de faire le point de ce mois de mars et du premier trimestre 2023.

Pour ceux qui ne l’ont pas lu, je vous invite à aller lire mon billet sur les résolutions (ICI).

Mars 2023

Mars 2023

Avoir une moyenne de sortie de 50 km/semaine.

C’est fait 😀 avec 205 km en 4 semaines (= 51,25 km/semaine). Je commence à bien rallonger les sorties. Et avec les beaux jours, on va essayer d’en placer une ou deux le soir après le boulot.

Atteindre ou dépasser les 2023 km sur l’année.

Si je garde le rythme actuel, je ne ferai que 1712 km. Le chiffre progresse bien

Réaliser au moins un col en 2023 pour refaire tourner mon compteur pour les 100 cols

Aucun col n’est au tableau des sorties de ce mois. On s’en rapproche tout doucement.

Réaliser une sortie de 100 km avant la fin de l’été 2023

Sans vent, je pense que j’aurais pu sortir mon premier 100 km. La météo en a décidé autrement. Ce n’est pas grave. Il reste encore 6 mois pour réaliser ce souhait.

Pointer au moins un BPF/BCN sur 2023.

Cet objectif sera normalement réalisé sans trop de souci. Reste à voir quand 😉

Repasser sous le quintal en terme de poids.

Les 113 kg à la balance, c’est encore un mois sans gain ni perte. Vivement les beaux jours pour réaliser encore plus de distance et donc brûler encore plus de calories 😀

Essayer de faire au moins un post par semaine en moyenne.

Avec 5 posts en 4 semaines, la cadence est là. On garde le rythme.

Et vous, est-ce que vos résolutions cyclistes sont encore en cours ?

@ bientôt

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Sortie Club – Ouverture de saison CODEP 64

Bonjour à tous,

Hier, dimanche 26 mars 2023, c’était la randonnée d’ouverture de la saison FFVelo dans les Pyrénées-Atlantiques.

Le départ avait lieu depuis la salle polyvalente, place de la HOURQUIE.

Vu la distance entre la maison et le départ (à peine 10 km), je pars à vélo. Je prévois une petite heure avant l’heure du rendez-vous club à 9h30. Ainsi, j’ai une bonne marge de sécurité pour me balader.

J’ai décidé de ne pas monter directement par la montée de Morlaas via la D943. J’ai opté pour la montée via la route de Sendets. Cela me fait passer par des routes que je ne connais pas. Et vu que j’adore découvrir de nouvelles routes, c’est top. Et cerise sur le gâteau, je croise la route de Jean-Luc, le président de mon club, le CCB, qui a pris la même route.

A la salle polyvalente, l’accueil est chaleureux avec un speaker de folie qui nous attribue les numéros 154 et 155. Au final, il n’y a eu que 13 cyclistes pour le circuit. Le vent et les giboulées en ont découragé plus d’un. Rien que dans le club, nous étions 6 de prévus. Au final, nous fûmes 3. Gilbert, 74 ans, et sa randonneuse à la française de 20 kg nous ont rejoins.

A 9h34, on s’élance tranquillement. Mes deux compagnons de route roulent à un rythme qui me convient parfaitement. Si la météo n’avait pas été si mauvaise, la sortie aurait une très bonne balade.

Entre Ouillon et Espéchède, nous devons nous arrêter sur panne. En effet, Jean-Luc a crevé de l’avant. Ce qui n’est pas surprenant vu la pluie qui est tombée dans la nuit. Tous les petits silex ont sauté de joie pour se mettre la pointe en l’air. La réparation a un peu duré car il y a eu des soucis de pompes.

Après Espéchède et sa petite descente, je roule sur des routes nouvelles pour moi. Nous passons à Sedzère. Puis on rejoint Lespourcy. On frôle Baleix. On poursuis sur Simacourbe en roulant à travers les champs. Avec une météo plus clémente, j’aurais certainement mitraillé de photos.

On continue en direction de Lalongue où on tourne à gauche pour prendre une belle descente. Mes deux camarades, bien meilleurs descendeurs que moi, on vite pris le large. A la fin de la descente, ils m’avaient bien mis 500m dans la vue. On comprends mieux l’importance de la descente dans des courses comme le Tour de France. Ca peut aussi créer des écarts.

A Lussagnet-Lusson, nous arrivons juste au moment où le ravitaillement de la rando faisait table rase. Ils ont ressortis amicalement et rien que pour nous de quoi se sustenter un peu (sandwich au saucisson, bananes, quatre-quarts, fruits secs, etc…). C’était un bon moment de discussion sur le jardinage 😀

En repartant, on attaque d’entrée une belle bosse. J’opte pour mon rythme de grimpeur : tout à gauche et je me treuille. Gilbert et même redescendu un peu pour m’accompagner. Merci pour le geste.

Le parcours nous emmène ensuite à Escoubès. On passe devant la coopérative Approvert Bergeret. Il y a quelques mois, en passant devant, j’avais trouvé que c’était loin de la maison. Mais en fait, avec l’entrainement, c’est juste une petite balade.

De là, on rejoint Saint-Jammes pour descendre via la D943 sur Morlaas.

On arrive logiquement les derniers de la randonnée. Je peux admirer de bien belles randonneuses Cyfac : 4 en 10m. Mais le petit groupe du CCB était bien équipé lui aussi : le Cannondale mulet light de Jean-Luc, la randonneuse à la française en 650B avec porte-sac, sacoches Berthoud et transmission triple Simplex de Gilbert et mon Cannondale CAAD 10 en mode randonneuse avec moyeu SON et garde-boue.

Après quelques échanges, nous repartons vers nos demeures, toujours à vélo. Je fais le chemin retour avec Gilbert qui me dépose presque devant chez moi.

Au final, ce fut une bien belle sortie. Même les quelques giboulées et le ciel gris n’ont rien gâché mais ont donné de la saveur à cette sortie. Que du plaisir.

Encore merci à mes deux compagnons de route.

@ bientôt.

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Compostelle par ci, Compostelle par là

Bonjour à tous,

Ce samedi matin, je suis parti explorer le Béarn. Je m’étais tracer un parcours sur Openrunner. Et je ne savais pas trop ce que j’allais rencontrer.

Le début du parcours est en faux-plat descendant et j’en connais quasiment tous les mètres à force les prendre en sens inverse, presqu’au ralenti 😀

Ce n’est qu’après Bougarber que je ressors mon téléphone pour prendre en photo les paysages et les petits détails qui attirent mon oeil.

Point de vue sur la vallée

Point de vue sur la vallée

Point de vue sur la vallée

Point de vue sur la vallée

Mon cheminement me fait croiser un tableau coloré que seule la nature sait en faire.

Du rose, du jaune, du vert

Du rose, du jaune, du vert

Plus loin, je crois mon premier indice m’indiquant que je roule sur un des chemins de Compostelle. Au vu de ma direction, je pense être en sens retour.

Premier indice que je suis sur le chemin

Premier indice que je suis sur le chemin

Je passe le bonjour à la « vache parisienne » du jour. (Pour ceux qui découvre mon blog, il y a quelques années, j’avais un équipier (Veloblan – blog) qui postait beaucoup de photos de son Auvergne avec de nombreuses vaches. Pour lui faire un clin d’oeil, quand je roulais en Ile-de-France, je croisais souvent des troupeaux de chevaux que j’appelais « vaches franciliennes »).

"Vache francilienne"

« Vache francilienne »

Dans ce coin de campagne, un vrombissement se faisait entendre. Je savais que je roulais non loin du circuit de Pau-Arnos. Je ne pensais pas que j’allais passer à côté et même le surplomber. En cette belle journée, j’ai eu le droit au bal des grosses motos.

Circuit de Pau-Arnos

Circuit de Pau-Arnos

En redescendant du plateau, je crois de nouveaux des chevaux et des ânes.

Un paisible troupeau

Un paisible troupeau

Peu après Géus-d’Arzacq, j’apprends le nom du chemin que je remonte à contre-sens. Je suis sur la voie du Puy.

Petite halte pour pélerins

Petite halte pour pèlerins

Sur le chemin du Puy

Sur le chemin du Puy

Généralement, sur le chemin de Saint-Jacques, quelque soit l’itinéraire emprunté, au milieu de nulle part ou presque, vous tombez sur de petites auberges ou haltes vous offrant un moment de pause et du ravitaillement. C’est souvent un excellent moment.

Une grande pause à l'approche

Une grande pause à l’approche

Sur le chemin, on ne fait pas que marcher et manger. On admire aussi très souvent de jolis fresques.

Nous sommes bien sur le chemin

Nous sommes bien sur le chemin

Mais pour cette sortie, je quitte le chemin pour reprendre mon itinéraire.

J’y croise un joli point d’eau isolé dans la campagne.

Un point d'eau

Un point d’eau

Une balade en Béarn sans photo des Pyrénées n’est pas une balade réussie.

Les Pyrénées

Les Pyrénées

Je rentre par la forêt de Bastard, aussi appelée Bois de Pau. Bien que j’y suis passé bien des fois, allez savoir pourquoi plusieurs panneaux d’information au milieu du bois attirent mon œil. Je fais demi-tour et je vous laisse découvrir ce que j’ai vu avec les photos suivantes.

La Croisée des Chemins

La Croisée des Chemins

Un peu d'infos

Un peu d’infos

Cami par ci, Cami par là

Cami par ci, Cami par là

La Cami Roumieu

La Cami Roumieu

La Cami Salié

La Cami Salié

Le dernier cami de la série

Le dernier cami de la série

La Cami Ossaltes

La Cami Ossales

Ceux qui ont lu les informations sur les photos auront déjà l’info. Pour les autres, je vous mets une photo plus globale du panneau du Cami Romieu.

La panneau du Cami Romieu

La panneau du Cami Romieu

Une coquille Saint-Jacques indique que c’est un chemin en direction de Saint-Jacques de Compostelle. En l’occurrence, c’est la voie de Toulouse.

Sans l’avoir chercher, je me suis retrouver sur deux des parcours vers Saint-Jacques de Compostelle.

Compostelle apparait souvent sur mes parcours vélo sans que je le cherche. Quand j’habitais en région Parisienne, autour d’Arpajon, il était là. Vers Saint-Rémi-de-Chevreuse, au cours de la Jean Racine, il était là. A Tours, où j’ai vécu 16 ans, il était là aussi. Et maintenant près de Pau, il est là.

Et pour finir, il me fait un dernier clin d’œil, 50m après la Croisée des Chemins.

Il est encore là.

Il est encore là.

Buen Camino.

PS : Pour ceux qui ne le savent pas, j’ai cheminé sur le chemin en mai 2007 avec David et Paz. C’est un voyage dont je ne garde que de bons souvenirs.

Voici les résumés de nos 7 étapes :

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Allons voir Cescau

Bonjour à tous,

Dimanche dernier, je suis sorti roulé par de douces températures printanières. Pas de pluie au programme, qui est un plus pour profiter de la route. Après, c’est tout même bien qu’il pleuve car les sols en ont besoin.

J’ai opté pour un parcours vers le Nord, vers Buros pour ensuite passé par Montardon et atteindre Cescau.

Le début du parcours est un classique. Je passe devant la ferme Spir’up qui produit de la spiruline française. La ferme peut se visiter sur rendez-vous.

Plus loin, avant d’attaquer la montée vers Buros, je croise un rucher prêt pour la nouvelle saison mellifère.

Un rucher prêt pour la saison

Un rucher prêt pour la saison

L’église de Buros est la récompense photo de la montée qui n’est pas une des plus dures du secteur.

Eglise de Buros

Eglise de Buros

Je poursuis vers Montardon en roulant sur les hauteurs entre Buros et Montardon.

Je file en direction d’Uzein. J’y croise un terrain de jeux qui ravira nos deux enfants lors d’une prochaine venue.

Parc de jeux à Uzein

Parc de jeux à Uzein

Vers Bougarber, je croise le balisage de Saint-Jacques de Compostelle. Ce chemin est un bon souvenir vu que je l’ai emprunté en 2007 sur une courte portion entre Léon et Saint-Jacques.

Saint-Jacques de Compostelle

Saint-Jacques de Compostelle

Saint-Jacques de Compostelle

Saint-Jacques de Compostelle

En direction de Cescau, je croise un beau troupeau de moutons.

Moutons en train de festoyer

Moutons en train de festoyer

Au sommet du mur de Maladou, je fais une petite pause photo avec ces petits fleurs éclairées d’une belle lumière.

C'est beau la fin de l'hiver et le retour du printemps

C’est beau la fin de l’hiver et le retour du printemps

Pour finir avec les photos de cette balade, revoici la photo de l’entrée du cimetière de Poey-de-Lescar.

Entrée du cimetière de Poey-de-Lescar

Entrée du cimetière de Poey-de-Lescar

Au final, la sortie fut magnifique mais avec le peu d’entrainement, elle fut aussi dure pour les jambes.

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