Le printemps est là avec la fin du mois de Mars qui connait aussi son lot de giboulées. Il est temps de faire le point de ce mois de mars et du premier trimestre 2023.
Pour ceux qui ne l’ont pas lu, je vous invite à aller lire mon billet sur les résolutions (ICI).
Mars 2023
Avoir une moyenne de sortie de 50 km/semaine.
C’est fait 😀 avec 205 km en 4 semaines (= 51,25 km/semaine). Je commence à bien rallonger les sorties. Et avec les beaux jours, on va essayer d’en placer une ou deux le soir après le boulot.
Atteindre ou dépasser les 2023 km sur l’année.
Si je garde le rythme actuel, je ne ferai que 1712 km. Le chiffre progresse bien
Aucun col n’est au tableau des sorties de ce mois. On s’en rapproche tout doucement.
Réaliser une sortie de 100 km avant la fin de l’été 2023
Sans vent, je pense que j’aurais pu sortir mon premier 100 km. La météo en a décidé autrement. Ce n’est pas grave. Il reste encore 6 mois pour réaliser ce souhait.
Pointer au moins un BPF/BCN sur 2023.
Cet objectif sera normalement réalisé sans trop de souci. Reste à voir quand 😉
Repasser sous le quintal en terme de poids.
Les 113 kg à la balance, c’est encore un mois sans gain ni perte. Vivement les beaux jours pour réaliser encore plus de distance et donc brûler encore plus de calories 😀
Essayer de faire au moins un post par semaine en moyenne.
Avec 5 posts en 4 semaines, la cadence est là. On garde le rythme.
Et vous, est-ce que vos résolutions cyclistes sont encore en cours ?
Hier, dimanche 26 mars 2023, c’était la randonnée d’ouverture de la saison FFVelo dans les Pyrénées-Atlantiques.
Le départ avait lieu depuis la salle polyvalente, place de la HOURQUIE.
Vu la distance entre la maison et le départ (à peine 10 km), je pars à vélo. Je prévois une petite heure avant l’heure du rendez-vous club à 9h30. Ainsi, j’ai une bonne marge de sécurité pour me balader.
J’ai décidé de ne pas monter directement par la montée de Morlaas via la D943. J’ai opté pour la montée via la route de Sendets. Cela me fait passer par des routes que je ne connais pas. Et vu que j’adore découvrir de nouvelles routes, c’est top. Et cerise sur le gâteau, je croise la route de Jean-Luc, le président de mon club, le CCB, qui a pris la même route.
A la salle polyvalente, l’accueil est chaleureux avec un speaker de folie qui nous attribue les numéros 154 et 155. Au final, il n’y a eu que 13 cyclistes pour le circuit. Le vent et les giboulées en ont découragé plus d’un. Rien que dans le club, nous étions 6 de prévus. Au final, nous fûmes 3. Gilbert, 74 ans, et sa randonneuse à la française de 20 kg nous ont rejoins.
A 9h34, on s’élance tranquillement. Mes deux compagnons de route roulent à un rythme qui me convient parfaitement. Si la météo n’avait pas été si mauvaise, la sortie aurait une très bonne balade.
Entre Ouillon et Espéchède, nous devons nous arrêter sur panne. En effet, Jean-Luc a crevé de l’avant. Ce qui n’est pas surprenant vu la pluie qui est tombée dans la nuit. Tous les petits silex ont sauté de joie pour se mettre la pointe en l’air. La réparation a un peu duré car il y a eu des soucis de pompes.
Après Espéchède et sa petite descente, je roule sur des routes nouvelles pour moi. Nous passons à Sedzère. Puis on rejoint Lespourcy. On frôle Baleix. On poursuis sur Simacourbe en roulant à travers les champs. Avec une météo plus clémente, j’aurais certainement mitraillé de photos.
On continue en direction de Lalongue où on tourne à gauche pour prendre une belle descente. Mes deux camarades, bien meilleurs descendeurs que moi, on vite pris le large. A la fin de la descente, ils m’avaient bien mis 500m dans la vue. On comprends mieux l’importance de la descente dans des courses comme le Tour de France. Ca peut aussi créer des écarts.
A Lussagnet-Lusson, nous arrivons juste au moment où le ravitaillement de la rando faisait table rase. Ils ont ressortis amicalement et rien que pour nous de quoi se sustenter un peu (sandwich au saucisson, bananes, quatre-quarts, fruits secs, etc…). C’était un bon moment de discussion sur le jardinage 😀
En repartant, on attaque d’entrée une belle bosse. J’opte pour mon rythme de grimpeur : tout à gauche et je me treuille. Gilbert et même redescendu un peu pour m’accompagner. Merci pour le geste.
Le parcours nous emmène ensuite à Escoubès. On passe devant la coopérative Approvert Bergeret. Il y a quelques mois, en passant devant, j’avais trouvé que c’était loin de la maison. Mais en fait, avec l’entrainement, c’est juste une petite balade.
De là, on rejoint Saint-Jammes pour descendre via la D943 sur Morlaas.
On arrive logiquement les derniers de la randonnée. Je peux admirer de bien belles randonneuses Cyfac : 4 en 10m. Mais le petit groupe du CCB était bien équipé lui aussi : le Cannondale mulet light de Jean-Luc, la randonneuse à la française en 650B avec porte-sac, sacoches Berthoud et transmission triple Simplex de Gilbert et mon Cannondale CAAD 10 en mode randonneuse avec moyeu SON et garde-boue.
Après quelques échanges, nous repartons vers nos demeures, toujours à vélo. Je fais le chemin retour avec Gilbert qui me dépose presque devant chez moi.
Au final, ce fut une bien belle sortie. Même les quelques giboulées et le ciel gris n’ont rien gâché mais ont donné de la saveur à cette sortie. Que du plaisir.
Ce samedi matin, je suis parti explorer le Béarn. Je m’étais tracer un parcours sur Openrunner. Et je ne savais pas trop ce que j’allais rencontrer.
Le début du parcours est en faux-plat descendant et j’en connais quasiment tous les mètres à force les prendre en sens inverse, presqu’au ralenti 😀
Ce n’est qu’après Bougarber que je ressors mon téléphone pour prendre en photo les paysages et les petits détails qui attirent mon oeil.
Point de vue sur la vallée
Point de vue sur la vallée
Mon cheminement me fait croiser un tableau coloré que seule la nature sait en faire.
Du rose, du jaune, du vert
Plus loin, je crois mon premier indice m’indiquant que je roule sur un des chemins de Compostelle. Au vu de ma direction, je pense être en sens retour.
Premier indice que je suis sur le chemin
Je passe le bonjour à la « vache parisienne » du jour. (Pour ceux qui découvre mon blog, il y a quelques années, j’avais un équipier (Veloblan – blog) qui postait beaucoup de photos de son Auvergne avec de nombreuses vaches. Pour lui faire un clin d’oeil, quand je roulais en Ile-de-France, je croisais souvent des troupeaux de chevaux que j’appelais « vaches franciliennes »).
« Vache francilienne »
Dans ce coin de campagne, un vrombissement se faisait entendre. Je savais que je roulais non loin du circuit de Pau-Arnos. Je ne pensais pas que j’allais passer à côté et même le surplomber. En cette belle journée, j’ai eu le droit au bal des grosses motos.
Circuit de Pau-Arnos
En redescendant du plateau, je crois de nouveaux des chevaux et des ânes.
Un paisible troupeau
Peu après Géus-d’Arzacq, j’apprends le nom du chemin que je remonte à contre-sens. Je suis sur la voie du Puy.
Petite halte pour pèlerins
Sur le chemin du Puy
Généralement, sur le chemin de Saint-Jacques, quelque soit l’itinéraire emprunté, au milieu de nulle part ou presque, vous tombez sur de petites auberges ou haltes vous offrant un moment de pause et du ravitaillement. C’est souvent un excellent moment.
Une grande pause à l’approche
Sur le chemin, on ne fait pas que marcher et manger. On admire aussi très souvent de jolis fresques.
Nous sommes bien sur le chemin
Mais pour cette sortie, je quitte le chemin pour reprendre mon itinéraire.
J’y croise un joli point d’eau isolé dans la campagne.
Un point d’eau
Une balade en Béarn sans photo des Pyrénées n’est pas une balade réussie.
Les Pyrénées
Je rentre par la forêt de Bastard, aussi appelée Bois de Pau. Bien que j’y suis passé bien des fois, allez savoir pourquoi plusieurs panneaux d’information au milieu du bois attirent mon œil. Je fais demi-tour et je vous laisse découvrir ce que j’ai vu avec les photos suivantes.
La Croisée des Chemins
Un peu d’infos
Cami par ci, Cami par là
La Cami Roumieu
La Cami Salié
Le dernier cami de la série
La Cami Ossales
Ceux qui ont lu les informations sur les photos auront déjà l’info. Pour les autres, je vous mets une photo plus globale du panneau du Cami Romieu.
La panneau du Cami Romieu
Une coquille Saint-Jacques indique que c’est un chemin en direction de Saint-Jacques de Compostelle. En l’occurrence, c’est la voie de Toulouse.
Sans l’avoir chercher, je me suis retrouver sur deux des parcours vers Saint-Jacques de Compostelle.
Compostelle apparait souvent sur mes parcours vélo sans que je le cherche. Quand j’habitais en région Parisienne, autour d’Arpajon, il était là. Vers Saint-Rémi-de-Chevreuse, au cours de la Jean Racine, il était là. A Tours, où j’ai vécu 16 ans, il était là aussi. Et maintenant près de Pau, il est là.
Et pour finir, il me fait un dernier clin d’œil, 50m après la Croisée des Chemins.
Il est encore là.
Buen Camino.
PS : Pour ceux qui ne le savent pas, j’ai cheminé sur le chemin en mai 2007 avec David et Paz. C’est un voyage dont je ne garde que de bons souvenirs.
Dimanche dernier, je suis sorti roulé par de douces températures printanières. Pas de pluie au programme, qui est un plus pour profiter de la route. Après, c’est tout même bien qu’il pleuve car les sols en ont besoin.
J’ai opté pour un parcours vers le Nord, vers Buros pour ensuite passé par Montardon et atteindre Cescau.
Le début du parcours est un classique. Je passe devant la ferme Spir’up qui produit de la spiruline française. La ferme peut se visiter sur rendez-vous.
Plus loin, avant d’attaquer la montée vers Buros, je croise un rucher prêt pour la nouvelle saison mellifère.
Un rucher prêt pour la saison
L’église de Buros est la récompense photo de la montée qui n’est pas une des plus dures du secteur.
Eglise de Buros
Je poursuis vers Montardon en roulant sur les hauteurs entre Buros et Montardon.
Je file en direction d’Uzein. J’y croise un terrain de jeux qui ravira nos deux enfants lors d’une prochaine venue.
Parc de jeux à Uzein
Vers Bougarber, je croise le balisage de Saint-Jacques de Compostelle. Ce chemin est un bon souvenir vu que je l’ai emprunté en 2007 sur une courte portion entre Léon et Saint-Jacques.
Saint-Jacques de Compostelle
Saint-Jacques de Compostelle
En direction de Cescau, je croise un beau troupeau de moutons.
Moutons en train de festoyer
Au sommet du mur de Maladou, je fais une petite pause photo avec ces petits fleurs éclairées d’une belle lumière.
C’est beau la fin de l’hiver et le retour du printemps
Pour finir avec les photos de cette balade, revoici la photo de l’entrée du cimetière de Poey-de-Lescar.
Entrée du cimetière de Poey-de-Lescar
Au final, la sortie fut magnifique mais avec le peu d’entrainement, elle fut aussi dure pour les jambes.
Certains le savent peut-être déjà, mais j’ambitionne de réaliser le Paris-Brest-Paris de 2027. 4 ans ce n’est pas si loin que cela surtout quand on part de zéro ou presque dans la longue distance.
Dans ma tête, la préparation a commencé. Et sur le terrain, je commence à essayer de rouler régulièrement.
Au niveau de l’équipement, je commence à étudier ce dont on peut avoir besoin et ce que j’estime avoir besoin.
Pour les éléments que je considère obligatoire, je me base d’abord sur mon ressentis. Ce qui peut me sembler obligatoire pour moi, ne le sera certainement pas pour vous. Chacun aborde cet aspect avec sa vision et ses habitudes.
Mes équipements obligatoires
Voici les équipements que je considère comme indispensable pour moi.
Mon téléphone
Mon téléphone est un CrossCall Action X5. Je l’ai choisi pour sa robustesse et son autonomie.
De plus, il est associé à mon GPS pour assurer un live-tracking pour mes proches qui ont le lien et envoyé une alerte si mon GPS détecte un choc important (chute ou autre).
J’ai aussi ajouté l’application Macrodroid qui permet de réaliser des actions sur des déclencheurs définis. J’ai notamment défini avec mon épouse que si elle m’envoie un sms avec un mot clé, le téléphone lui communique automatiquement ma position.
Mon GPS
Bien que je n’ai aucun souci pour m’orienter et lire une carte, je suis équipé comme beaucoup de cyclistes d’un GPS. En l’occurrence, rien d’original vu que c’est un Garmin Edge 820 pour le suivi en temps-réel.
Pour le guidage, j’ai opté pour le Garmin Etrex 30. Pour moi, cette gamme de GPS est la meilleur pour la longue distance.
Elles fonctionnent sur piles AA. Vous devez pouvoir vous procurer de quoi l’alimenter dans une grande partie du globe. Et vu que pour le moment, mes horizons de balade se limite à la France, je suis large.
Vous pouvez y ajouter n’importe quel fond de carte OpenStreetMap (fond de carte gratuit et de plus en plus utiliser par les grandes marques de GPS).
Et avec un câble USB adapté (Je vous en reparlerai plus tard), vous pouvez y transférer n’importe quel parcours depuis un PC ou un téléphone compatible.
Une couverture de survie
Cet équipement ne prend pas beaucoup de place et est léger. Mais il peut vous permettre d’attendre les secours, de vous réchauffer par grand froid ou mauvaise condition météo, voire de porter secours à une personne en détresse.
Une trousse à outil cycliste
Quand on part sur de grandes distances, il faut savoir se débrouiller seul au milieu de nulle part. C’est pourquoi, j’emmène un multi-outil cycliste, un dérive-chaine, trois démontes-pneus, un nécessaire de réparation de chambres à air, une pompe et une chambre à air.
Ce couteau m’a bien rendu des services sur le terrain. Pour moi, c’est un outil indispensable à avoir avec soi.
Les équipements obligatoires sur les épreuves d’ultra-distance
Je regarde aussi ce que réclame des épreuves ultra à l’organisation professionnelle. Généralement, ces organisations de part leur contrat d’assurance ne négligent pas l’aspect sécurité.
Parmi ces organisations, j’ai regardé les règlements de trois d’entres-elles.
Sur chaque page de leurs épreuves, ils indiquent le vélo recommandé et les équipements obligatoires.
BikingMan, les équipements obligatoires
GravelMan
Dans leur règlement, ils listent les équipements obligatoires.
GravelMan, les équipements obligatoires
RaceAcrossFrance
Dans la rubrique « Infos Pratiques » de leur site, ils listent aussi les équipements qui leur paraissent indispensables.
RaceAcrossFrance, les équipements obligatoires
Le résumé des différentes approches
Dans ce paragraphe, je liste tous les équipements en commun et jugé nécessaire par tous.
Téléphone
GPS
Batterie externe 10000 mAh
Multi-outil cycliste
Nécessaire de réparation crevaison (rustine, colle, etc…)
2 chambres à air (et même en tubeless. Car oui, sans chambre à air, on peut être en difficulté en tubeless (voir Et Paf, le pneu))
Pompe à main
Cartouches de CO2 et le gonfleur
2 couvertures de survie
Tout autre équipement jugé indispensable
En plus de ces équipements, ils ajoutent les équipements suivants qui ne devraient (pour moi) pas être mentionnés vu qu’ils sont déjà obligatoires de part le code de la route. Néanmoins, cela ne coûte rien de les rappeler.
Eclairage avant fixe
Eclairage arrière fixe
Gilet ou baudrier réfléchissant
Casque homologué
Dispositifs réfléchissants avant, arrière et latéral (= les catadioptres)
Pour finir, ils recommandent quasiment tous d’avoir la capacité d’emporter 1,5 litres d’eau et de quoi se ravitailler.
Voilà, déjà venue la fin du mois de février, il est donc temps de faire le deuxième point sur mes résolutions cyclistes 2023. Pour ceux qui ne l’ont pas lu, je vous invite à aller lire mon billet sur les résolutions (ICI).
Février 2023
Avoir une moyenne de sortie de 50 km/semaine.
Ce n’est pas encore fait, mais avec 146 km en 4 semaines (= 36,25 km/semaine), je reste toujours sur mon meilleur début de saison depuis 2012. C’est bien ça.
Atteindre ou dépasser les 2023 km sur l’année.
Si je garde le rythme actuel, je ne ferai que 1537 km. Le chiffre progresse bien
Aucun col n’est au tableau des sorties de ce mois. Mais pour le moment, c’est de trouver du foncier et avec la neige qui est tombé 3 fois ce mois-ci, je ne vais pas prendre de risque à aller dans des coins un peu reculer.
Réaliser une sortie de 100 km avant la fin de l’été 2023
Les 50 kms commencent à passer crème. Je pense que les 100 km sont largement réalisables dans l’année.
Pointer au moins un BPF/BCN sur 2023.
Cet objectif sera normalement réalisé sans trop de souci. Reste à voir quand 😉
Repasser sous le quintal en terme de poids.
Les 113 kg sont toujours là sur la balance. C’est un mois sans gain ni perte. Vivement les beaux jours pour réaliser encore plus de distance et donc brûler encore plus de calories 😀
Essayer de faire au moins un post par semaine en moyenne.
Avec 5 posts en 4 semaines, la cadence est là. On garde le rythme.
Et vous, est-ce que vos résolutions cyclistes sont encore en cours ?
Samedi dernier, j’ai pu aller rouler sous une belle météo de saison. Il n’y avait pas un grand soleil mais ce n’était pas non plus bouché.
En plus, la neige tombée le jeudi précédent avait quasiment disparue partout.
Je pars donc en direction de l’est en passant par la vallée de l’Ousse.
A Idron, je teste une nouvelle route. Et sans le savoir, je tombe sur un passage gravel. Vu que je ne veux pas faire demi-tour, je poursuis mon chemin.
Gravel Idron
Finalement, c’est passé en 23mm. Comme quoi un vélo de route peut en faire des choses. J’avoue que j’ai un peu serré les fesses en espérant ne pas percer…
Les Continental GP 4 saisons montés en CAA ont bien fait le job.
Je poursuis dans la vallée et devant l’Ousse bien gonflée au niveau d’un gué, je m’arrête pour la photo et la vidéo.
L’Ousse en force
En continuant le parcours, je m’arrête pour prendre en photo les montagnes sous la neige.
Les Pyrénées blanches
Après Nousty, je croise quelques petits moutons qui vivent dans un pré en compagnie de l’âne Trotro
Quelques moutons
A Espoey, l’expression « Mettre l’église au centre du village » a été transformé en « Mettre l’église au centre du rond-point ». A chacun sa vision des maximes.
Mettre l’église au centre du rond-point
Il restait encore un peu de neige dans le coin. « Black Runner » s’est dégourdi les roues.
C’est un gravel ou pas ?
Je remonte en direction de Soumoulou et repasse à Nousty. Vers Artigueloutan, je m’arrête pour prendre en photo un troupeau de moutons de race berrichonne.
Un troupeau de berrichons
La sortie se termine par deux nouvelles portions de gravel. Quand on vous dit qu’un CAAD 10 passe partout.
Encore du gravel
Gravel toujours
Ce fut une très belle sortie que j’ai fait atteindre les 50 km en allant faire un petit tour autour des Allées de Morlaas.
Samedi 18 février, la météo printanière m’a permis de partir explorer quelques nouvelles routes du Béarn.
Je suis parti sur un parcours mi-urbain, mi-campagne.
Je prends la direction de la fôret de Bastard en prenant de nouvelles rues et routes sur la commune de Pau. C’est toujours sympa de changer ses parcours pour continuer à être émerveillé.
Chevaux au repos
Je pars faire le tour du Domaine de Sers qui est un des premiers centres équestres de France.
Cela me permet d’engranger quelques kilomètres de nouveautés tranquillement. Le tour du domaine est assez plat.
Je poursuis en direction de l’aéroport de Pau et de la commune d’Uzein.
Ensuite c’est direction de la commune de Beyrie-en-Béarn et sa mairie. La photo ci-dessous a été prise depuis la place de la mairie.
La campagne béarnaise
Le retour se fait via Poey-de-Lescars, Lescars, Lons, Billière et la maison.
Au final, ce fut une sortie bien agréable et qui fait du bien.
Aujourd’hui, je vous propose de visionner une courte vidéo réalisée lundi dernier où l’on voit un moment de la vie à la campagne : le déplacement des troupeaux de moutons de prè en pré.
Hier, j’avais pris ma journée. J’ai profité de mon bon de sortie et du très beau temps hivernal pour aller rouler un peu.
Le début de la sortie est un classique qui me fait rejoindre la vallée de l’Ousse.
Chevaux au pré
Ensuite, je monte et redescend en direction d’Assat. De là, je pars en direction d’Angaïs et Beuste.
OVNI jaune
Pic du Midi de Bigorre
Placette à Beuste
La difficulté du jour est gravi tranquillement au milieu d’une belle lumière.
Au sommet, je fais une pause photo qui me permet de prendre en photo la vallée d’Ousse que je surplombe.
Vallée de l’Ousse
Le sommet est aussi le lieu de croisement avec le chemin Henri IV qui relie Pau à Lourdes.
Au croisement des chemins
Nous sommes ici
En redescendant, je croise un troupeau de moutons qui se rend dans son pré. La vie de la campagne a quelques minutes de la ville. Vraiment une superbe rencontre.
Je continue sur une route qui me fait faire du gravel. Et oui, à la campagne, les routes ne sont pas toutes des billards de bitume.
Ici, c’est gravel
Le retour se fait par un classique qu’est le prolongement de l’avenue du Béarn.
Au final, ce fut une très bonne sortie avec une superbe météo.