Mon club, le Cyclo Club Béarnais, en partenariat avec la municipalité de Pau et du club Pau Vélo 64, a organisé la balade familiale de la fête du vélo.
Pendant que les jeunes compétiteurs s’affrontais sur le circuit des allées de Morlaas. Nous partions à la découverte de la ville de Pau sur un petit parcours de 8 km accompagnés par des membres de la municipalités et des palois et paloises venus découvrir leur commune.
Les cyclistes de la police municipal nous ont sécurisé le parcours. Notre cortège était également sécurisé par une voiture de la police municipale qui nous protégeait des quelques impatients du dimanche matin. Un gyrophare bleu est souvent bien plus efficace que le respect du code de la route.
Nous avons commencé ce découverte à vélo par le quartier de Saragosse qui a été bien réhabilité par la Mairie, et notamment du pôle Laherrère. C’est ici qu’en septembre 2023, Thierry Marx ouvrira son école de cuisine.
Nous avons ensuite rejoint les Halles de Pau pour ensuite cheminer vers la place Clemenceau. C’est un cœur de ville calme que nous avons découvert en ce dimanche matin. Notre groupe d’une quarantaine de cyclistes faisait bien retourner des badots.
Une nouvelle halte fut faite devant le château de Pau. Une fois le regroupement réalisé, nous partîmes en direction du boulevard des Pyrénées et le parc Beaumont.
Avant de rejoindre les allées de Morlaas pour un tour d’honneur, nous avons traversé le square Georges Besson.
Pour une première, elle fut très sympathique en compagnie de 11 membres du club.
Lundi 1er mai, jour chômé en France pour la fête du travail, j’ai opté pour aller faire travailler mes jambes.
Bien que la météo du matin ne soit pas des plus belles, je pars tout de même rouler. N’ayant pas pris le temps de tracer un parcours et vue la météo, je me suis dit autant aller rouler sur des routes connues. L’exploration s’est super, mais quand on peut profiter du paysage.
Je roule donc en direction de l’est avec pour objectif 1 : Andoins. Vu qu’il ne pleut pas, je me suis dit que je pourrais essayer mon parcours « hamster » autours d’Andoins que je n’ai tracé que sur le net.
Pour trouver l’entrée de la route, je galère un peu et je ne trouve pas la liaison super ludique. Je ne pense pas que je l’utiliserai pour m’entrainer. Mon vélodrome de Buros est plus fun (et le bitume est en meilleur état).
Néanmoins, je monte sur Andoins où je croise la source du Luy en Béarn.
Source du Luy en Béarn
Je poursuis en direction d’Andoins, où le centre-ville est en plein travaux. La route est loin d’être un billard mais d’ici quelques jours, cela le sera.
Je croise un cheval qui adore les roses. Juste après la photo, il s’est mangé trois bourgeons de roses sans que les épines ne le gênent.
Beau profil 😉
Un gourmand
Plus loin, je coupe mon élan quand je croise un couple d’ânes (les équidés, pas ceux avec quatre roues…).
Un couple d’ânes
Ensemble floral champêtre
Limendous est l’étape suivante de mes arrêts photos où je surprends un troupeau de vaches.
Vaches au prè
A la sortir du C1, je m’arrête devant l’entrée d’un long ruban gravel qui n’invite qu’à le prendre. Mais bien qu’il soit assez roulant pour mon route, je vais rester raisonnable et poursuivre sur la route.
Invitation au gravel
J’emprunte la rue Coste du Turon sur les hauteurs d’Espoey. Pour l’avoir prise en montée, je sais que cela grimpe.
Mais au sommet, la vue est superbe sur les Pyrénées. Même quand le ciel est bas.
Vallée de l’Ousse
Après la prise prudente du toboggan bitumé sous une légère ondée. Je fais une nouvelle pause photo pour prendre un bien joli bureau dans l’objectif.
Un beau bureau
A partir de là, je passe en mode « à fond ». Je sais que la vallée de l’Ousse est en faux-plat descendant. Donc, je n’ai qu’un mot « gazzzz ».
Je m’arrêterais néanmoins à Artigueloutan pour prendre en photo un troupeau de moutons.
Encore lui…
C’était ma dernière photo du jour. Le reste fut un jeu de manivelle. J’ai pris aussi beaucoup de plaisir à rouler à 25/30 km/h sans souffrir des genoux.
Ce fut une excellente sortie. Elle fut bonne pour le moral, riche en plaisir sur le vélo et à profiter du paysage.
Voilà, avril est passé. Cela fait déjà 4 mois que nous sommes en 2023. Est-ce que vos résolutions tiennent toujours ? Voici mon bilan pour ce mois écoulé.
Pour ceux qui ne l’ont pas lu, je vous invite à aller lire mon billet sur les résolutions (ICI).
Avoir une moyenne de sortie de 50 km/semaine.
Ce mois-ci, avec juste 116 km sur le mois, je suis loin de mon objectif. la météo y est pour beaucoup. Nous avons eu un mois d’avril aux week-end bien arrosés. C’est simple aucune de mes trois sorties du mois ne se sont déroulés sur le sec. Mais au moins, j’apprends à rouler sous le pluie.
Atteindre ou dépasser les 2023 km sur l’année.
Si je garde le rythme actuel, je ne ferai que 1907 km. Le chiffre progresse bien toujours et cela est cool. Et, on ne va pas se voiler la fase, on approche de l’objectif en virtuel 😉
Aucun col n’est au tableau des sorties de ce mois. Mais 2023 dure encore 8 mois.
Réaliser une sortie de 100 km avant la fin de l’été 2023
Dans 5 mois, j’aurais certainement fait un 100. Mais pour le moment, ce n’est pas encore fait.
Pointer au moins un BPF/BCN sur 2023.
Cet objectif sera normalement réalisé sans trop de souci. Reste à voir quand 😉
Repasser sous le quintal en terme de poids.
Les 111 kg à la balance, j’ai perdu 2 kg sur ce mois. Il faut que je continue à ce rythme. Je monte un peu plus facilement en grande partie grâce à l’entrainement. Si en plus, je peux alléger le pilote, c’est que du bénéfice.
Essayer de faire au moins un post par semaine en moyenne.
Le rythme est pris. Ne le perdons pas.
Et vous, est-ce que vos résolutions cyclistes sont encore en cours ?
Samedi 22 avril, cela fait quelques heures que les plus de 200 participants à la Desertus Bikus se sont élancés d’Anglet en direction de Nerja.
Lors du départ et pour la traversée des Pyrénées, les participants ont essuyé de bonnes pluies pendant 12h pour certains.
Et comme le vent vient d’Ouest et que Pau est à l’Est d’Anglet, les pluies sont arrivées le matin sur l’agglomération paloise.
Malgré tout, j’ai décidé d’aller rouler par ce « beau temps ». Quoi de mieux que de tester son matériel dans les bonnes conditions.
Je pars donc en direction d’Andoins. Initialement, j’avais l’intention de jouer au hamster avec la bosse mais vu la météo, j’ai opté pour un circuit plus sécurisant.
Au niveau vision, c’est la première fois que j’opte pour rouler sans lunettes. Les deux photos ci-après vous montre le avec et sans lunettes… Elles sont réalisées sans trucage.
Vu avec les lunettes
Vue sans les lunettes
Mes coups de pédales m’emmènent plus loin et je croise une aire de pique-nique où j’aurais pu faire une petite pause. Mais je venais juste de commencer 😉
Petite aire de pique-nique
Je poursuis et je passe sur un chemin un peu gravel : gravier, nid de poule, disparition du bitume par endroit.
« Gravel time »
Et je peux vous dire que sous la pluie, avec les gravillons gourmands en gomme, un pilote et ses bagages faisant plus de 120 kg, ça passe crème avec des Continental GP 4Seasons en 23 mm.
GP 4 Seasons en 23mm
Alors oui, ce n’est qu’un passage mais sous une bonne pluie. Mon CAAD 10 n’est prévu que pour 120 kg maximum mais depuis le temps que je roule avec, il n’a pas bougé.
[Mode Coup de gueule -> ON]
Quand j’échange avec des vendeurs de cadre en titane qui te disent que leurs cadres ne sont faits pour des gabarits autre que le mien (120 kg max). Et qu’ils m’invitent à aller à la concurrence, je me marre. C’est soit que leurs cadres c’est du chewing-gum , soit ils n’ont pas confiance en leurs sous-traitants, soit (et c’est pire) que je n’ai pas la silhouette de leurs clients rêvés…
Le CAAD 10 de Cannondale (qui date de 2013) est en aluminium avec fourche carbone. Je n’ai pas souvenir que l’aluminium soit plus résistant que du titane (métal dont on fait pas mal d’implant de genoux, d’hanches, etc…). Et pourtant, il tient très bien la route et fait son job sans souci.
C’était ma mini-minute coup de gueule en me marrant bien des discours marketing.
[Mode Coup de gueule -> OFF]
Après une petite visite d’un quartier de Nousty, je poursuis en direction d’Artigueloutan.
J’y croise des moutons bien plus prévoyants que moi. Je suis trempé. Eux aussi, mais ils ont la bonne idée de s’abriter sous les arbres.
Moutons pas fous
Mais ils ne le sont pas tous… prévoyants.
Moutons pas prévoyants
Je rentre par la vallée de l’Ousse où je réalise ma vitesse de pointe de ma sortie.
Au final, ce fut une sortie qui m’a fait du bien.
J’ai bien rit en faisant du gravel avec un vélo pas fait pour.
J’ai roulé sans lunette à cause du manque de visibilité (=> moralité : il faut que je pense à changer mes lunettes de vélo).
Ma veste de pluie n’est pas prévue pour cette intensité de pluie. J’étais autant trempé que si je n’avais pas eu de veste (=> moralité : c’est important de tester son matériel dés qu’on peut)
@ bientôt
PS : Quand vous lirez ces lignes, les premiers de la Desertus Bikus ont déjà franchi la ligne d’arrivée depuis lundi (soit environ 3 jours pour faire 1450/1500 km à travers l’Espagne).
Dimanche 16 avril, j’avais en principe une sortie de 100 km de prévue avec le club. Mais pour diverses raisons, je n’ai pu y aller. Je me suis rabattue sur une petite sortie exploratoire.
J’ai chargé, dans mon Etrex 30, une trace que j’avais initialement prévu comme trace d’entrainement. Finalement, en cours de route, je prenais plus de plaisir à explorer qu’à suivre la trace. « Chasser le naturel, il revient au galop ». Je n’ai décidemment pas l’esprit de compétition LOL.
J’ai commencé par explorer autours de chez moi quelques rues que je ne connaissais pas. J’ai découvert de bien jolis coins : un parc plein de jonquilles et de petites barrières en bois, un garagiste qui possède pleins d’épaves de DS des années 1970. (Laissez moi un message si vous voulez l’adresse).
J’ai poursuivi ensuite vers Buros en passant par la ferme « Pau de Vache » (qui vend des produits autour des oeufs, des porcs et des vaches) puis la ferme de Spir’up (qui produit de spiruline).
Au passage, j’en profite pour vous informer que ces deux fermes seront ouvertes le dimanche 30 avril prochain dans le cadre de l’évenement de ferme en ferme. (Voir le site web)
Je passe un champs où un cheval se repose.
Cheval se reposant
Le parcours se poursuit et me fait passer devant la maison de Gilbert Duclos-Lasalle qui vit à Buros.
La Montée de Guise me fait bien travailler les cuisses. C’était un peu le but de cette sortie en mode entrainement : bosser les bosses.
En direction de la Marie de Buros, je m’arrête pour saluer « Jean-Pierre ».
« Jean Pierre »
Dans Buros, je commence mon action de vagabondage dans Buros. J’adore explorer une commune ou une région à vélo. La vitesse du vélo permet d’aller vite tout en étant à l’écoute de son environnement.
Ma première découverte est une stèle en l’honneur de l’ancienne présidente du Buros HandBall qui est partie trop tôt. Elle a œuvré pendant 40 ans au sein du club de joueuse à présidente en passant par entraineure.
Stèle Mylène Cassou Oustanet
Siège du club Buros Handball
Juste à côté, l’église blanche se découpait magnifiquement sur le beau ciel bleu du Béarn.
Eglise de Buros
En repartant, mon œil est attiré par une table de pique-nique dans le bois à côté de l’école du village. Et pour cause, c’est une magnifique table de banquet qui est dressée dans le bois.
Table de banquet
Je repars de la commune via le chemin Carrère. Je le connaissais en montée, mais pas en descente. C’est un véritable toboggan avec un enrobé de bonne qualité et sans trop de surprise au niveau du trafic. Mais cela reste une route ouverte donc à prendre avec prudence. A nous autre cycliste, notre seule carrosserie est notre casque.
Je prends ensuite le chemin de Cartau où un riverain a réalisé de magnifiques oeuvres d’art.
Sur le chemin de Cartou
Sur le chemin de Cartou bis
Il boude, c’est lui qui le dit
Sur le chemin de Roumieu, je m’arrête pour prendre un beau troupeau de vaches.
Vaches en Béarn
Dans mon dos, il y avait cette jolie vue.
Les Pyrénées
Au croisement de l’Allée de Larricq et du chemin de Roumieu, je tombe sur des jeunes filles. La plus jeune venait de faire une chute dans le fossé plein d’eau. C’étaient deux cousines. Je me suis bien sûr arrêté pour le prêter assistance. Il y a eu plus de peur que de mal. Je fais faire quelques gestes pour contrôler qu’elle ne s’était rien cassé. J’ai ensuite vérifié le vélo. Elles n’ont pas arrêté de me remercier de les avoir aidé. Elles étaient rassurées que je me sois arrêté.
Je les ai ensuite escortées jusqu’à chez leurs grands-parents.
Ce sont-elles qui m’ont appris que Gilbert Duclos Lassalle était leur voisin. Et que les ruches qu’on croise au bout du chemin de Roumieu sont à leur papy et mamie.
Cela valait le coup de s’arrêter pour aider.
Après cet intermède, j’ai continué mon circuit en remontant la Montée de Guise pour reprendre le chemin Carrère.
Mais au lieu de prendre le chemin de Cartau, j’ai pris le chemin de Petit. Et devinez sur quoi je suis tombé au bout… Un cul de sac, mais pas n’importe quel cul de sac.
Je suis tombé sur le chemin de Saint-Jacques de Compostelle, la voie d’Arles.
Compostelle toujours
Avec un gravel, j’aurais sans hésitation poursuivi vers le bois de Bastard. J’aurais retrouvé mon carrefour de la dernière fois (Voir ce post).
Et en tournant la tête à gauche du panneau, vous aviez cette vue.
« Jean-Pierre » encore
En retrouvant le chemin de Cartau, je me suis arrêté encore pour un troupeau mais de moutons cette fois-ci.
Troupeau de moutons
Pour finir ma sortie et rajouter quelques kilomètres, je suis parti prendre un photo une des ruches que mon épouse à peinte.
Ruche peinte par mon épouse
Au final, la sortie est courte (moins de 40 km) mais elle fut riche en paysage, en moment humain et en découverte. C’est ça le vélo plaisir.
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