Il y a de l’orage. Et alors ?

Bonjour à tous,

Samedi 13 mai en plein dans la trilogie des Saints de Glaces (qui cette année portent bien leur nom), j’ai profité de mon créneau de sortie pour faire autre chose que regarder la pluie tomber.

Ne voulant pas prendre de risque inutile, je n’ai pas opté pour aller faire du D+. Il faut dire qu’au moment, où j’ouvre la porte du garage, une orage bien costaud s’abat sur Pau. Je referme vite la porte pour éviter que le garage ne mouille trop. J’ai sagement attendu que cela se calme. Et quand il y eu moins de gouttes, je suis sorti avec en tête que le jour d’un évènement comme un BRM, un PBP, une Desertus Bikus, une French Divide et tant d’autres, si il pleut, il faut quand même prendre le départ.

Et si on teste pas son matériel sous la pluie, comment pouvons-nous savoir comment il réagit ?

Bref, je m’élance sur du plat avec pour objectif Nousty puis retour classique par la vallée d’Ousse.

A Sendets, je m’arrête pour prendre en photo le résultat de l’orage qui a transformé les fossés en ruisseau de montagne.

Un cycliste heureux

Un cycliste heureux

J’emprunte un bout de la D817 où les voitures ont toutes été respectueuses en prenant leur distance avec le cycliste fou qui sort quand l’orage se déchaine 😀

Le gué près de Lée n’est pas trop gonflé. Il serai passable à pied, je pense.

Le gué de Lée

Le gué de Lée

Et je découvre le mode de selfie de mon téléphone, il était temps LOL

Mode selfie

Mode selfie

Sur la fin du parcours, j’envoie les watts sur une montée où il y a quelques mois, je peinais à 10 km/h. Là, je passe à 15 km/h. Comme l’entrainement ça paye toujours.

Et je suis KOM de ma rue à égalité. La prochaine fois, je tente d’être seul sur le haut du podium. Champion du monde du quartier 😉

@ bientôt.

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