Bilan 2013

Bonjour.

En ce dernier jour de l’année, le temps est venu de faire un bilan de 2013.

Autant être clair tout de suite, 2013 a été une de mes années les plus pourries de mon existence. Mais elle ne m’a pas tuée 😉

Le début de l’année a été sur le plan professionnel très très chargé. Je me souviendrais toujours des 200 heures en 4 semaines entre janvier et février. Et les deux mois suivants ont été du même acabit avec une charge un peu moindre. Si on rajoute le décès par crise cardiaque d’un collègue de 38 ans, la coupe était pleine. Je pense avoir fait un burn-out à cette période. Je dis bien, je pense car je n’ai pas été consulté; mais j’étais à bout. Bien sûr les 4 premiers mois de l’année n’ont bien sûr pas vu le moindre kilomètre au compteur.

Fin avril/début mai, je décide de reprendre les choses en main. Je me remets à rouler. Le niveau de l’année 2012 est plus qu’éloigné. Il faut être honnête, il a disparu. Je reprends doucement. Au fil des sorties plus ou moins régulières, je retrouve quelques sensations et je roule plus pour le plaisir qu’autre chose.

Mais à chaque sortie, je ressentais une douleur aux genoux. Je décide donc d’aller voir ma kiné préférée et je lui parle de mes douleurs. Elle me conseille d’aller voir un podologue. C’est ce que je fis. Hormis le fait que j’avais les pieds plats, il m’a dit que mes articulations étaient en bon état et qu’il n’y avait pas besoin de semelles.
Je décide donc d’aller voir un médecin du sport. Il me refait les mêmes contrôles que le podologue et ne trouve rien. S’ensuit donc la radio pour voir si il n’y avait pas une atteinte osseuse. De nouveau, rien de visible. Il me prescrit quand même une douzaine de séances de kiné.
Je retourne voir ma kiné préférée. On commence les séances. Je ressens un mieux en terme de force sur le vélo, mais les douleurs sont toujours plus ou moins présentes. Elle me dit alors que si c’est une tendinite, les exercices ne sont pas forcément bénéfiques dans un premier temps. Je lui demande ce que je peux faire alors. Elle m’oriente vers un rhumatologue.

Nous sommes à mi-juin. Je vois le rhumatologue. Il pose de suite un nom sur mon mal : syndrome femoro-patelaire. J’ai gagné mon billet pour ma première IRM de ma vie. Je la réalise fin juillet. Le résultat a été sans appel. Le radiologue m’a dit « Arrêtez tout exercice physique. Vos articulations ont besoin de repos. ». Je reprends rendez-vous avec le rhumatologue pour la rentrée de septembre. A la vue des images, il me dit que je souffre d’une inflammation osseuse des deux rotules. C’est du à une malformation de ma trochlée du genou qui fait que la rotule bouge dans tous les sens et a inflammé le cartilage. L’inflammation s’est propagée à l’os de la rotule. Il m’injecte de la cortisone dans les deux genoux. Deux mois, plus tard, il m’injecte de l’acide hyaluronique. En plus de ces injections, j’ai des séances hebdomadaires de kiné. Fin décembre, je commence à aller mieux. Par moment, les douleurs sont présentes, mais je vais tâcher de perdre du poids pour soulager les genoux et faire les exercices de renforcement que me prescrit ma kiné. J’ai bon espoir de rouler de nouveau en 2014. Ça me manque.

A ces déboires professionnels et physiques, je rajoute les déboires sentimentaux avec ma rupture en juin après 3 ans et demi de relation. L’Amour à distance sur le long terme n’est pas fait pour moi.

Voilà, mon bilan 2013 qui fut donc une de mes plus pourries de ma vie. Maintenant, je suis prêt à croquer 2014 à pleine dent et remettre tous les voyants au vert.

Adieu 2013. 2014, je t’attends avec impatience.

Bon réveillon à tous.

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