Les trois derniers tampons de la Touraine seront obtenus après 167 kms le long de l’Eurovélo6 : la Loire à vélo, le vendredi 10 avril 2009.
En regardant une carte de l’Eurovelo 6, j’ai remarqué que trois voire quatre, des sites BPF de Touraine sont situé sur l’itinéraire. Je me suis dit : « Autant faire d’une pierre deux coups ». Je m’élance donc pour une grande boucle malgré le ciel quelque peu menaçant.
La traversée de Tours en suivant l’itinéraire de la Loire à vélo se fait assez facilement vu que le balisage et le revêtement sont de qualité dans l’agglomération.
Les premiers 15 km nous emmènent à Savonnières, connue pour ses grottes pétrifiantes.
On continue à profiter des rives du Cher jusqu’à une fourche sur le parcours nous proposant soit d’aller à Azay-le-Rideau soit à Chinon. Un coup d’œil sur la carte nous confirme qu’il faut partir vers Azay-le-Rideau. La route monte sur le coteau et nous fait traverser quelques vignes. A Azay-le-Rideau, petite halte ravitaillement dans une boulangerie et récupération d’un nouveau tampon pour la carte de route.
Si vous avez le temps, poussez jusqu’à Villaines-les-Rochers, pour y découvrir l’artisanat de l’osier de la culture au tressage en passant par la préparation des tiges d’osier.
Une fois la pause à Azay-le-Rideau terminée, je repars sous la pluie en direction de Chinon en suivant l’itinéraire de la Loire à Vélo. On passe dans les vignes et au milieu de la belle campagne.
L’arrivée sur Chinon est un peu moins bucolique, vu qu’on tombe directement dans le flot de la circulation et le balisage suivi disparaît. J’ai même réussi à crever mon pneu arrière sur un petit
silex. Et oui, même un Schwalbe Marathon, ça crève. Une fois, la réparation effectuée, je fais tamponné dans un petit hôtel de la ville. L’accueil fut sympathique.
L’itinéraire en direction de Candes Saint-Martin au départ de Chinon n’est pas évident à trouver. Mais une fois, le balisage de la Loire à Vélo retrouvée, le parcours redevient bien plus convivial. L’arrivée à Candes Saint-Martin sous la pluie n’est pas aussi belle que sur les photos des livres. De plus, pour trouver un commerce ouvert pour un coup de tampon, c’est pas évident.
Je me suis finalement rabattu sur la bar/tabac à l’entrée du village.
Le retour s’est fait en grande partie en reprenant le chemin effectué en sens inverse, toujours sous la pluie.
Après une bonne journée de plus de 9h00 sur le vélo, le retour s’est fait sans la pluie. Ce fut bien agréable, l’arrêt de la pluie car cela devenait un peu fatiguant.
Sinon j’ai récupéré mes trois derniers tampons de la Touraine. J’ai donc complété ma première carte de route des BPF.