Mercredi 02 novembre, ce sont les vacances. Il fait beau donc on part rouler un peu.
Je pars à l’aventure vers le nord du Béarn.
Le parcours commence comme souvent via la montée de Buros. Je me treuille tranquillement. Mais l’enchainement de la montée de Maucor à 14% me stoppe pour le moment. Je ne désespère pas de la monter un jour sur le vélo.
Ensuite, c’est l’aventure. Je ne connais pas les routes.
Il y a de belles descentes qui durent plutôt longtemps et les automobilistes sont plutôt tolérants et ne cherchent pas à doubler dans les descentes à 50 km/h.
Il y a de belles montées voire même un mur à Barinque (qui en plus était en travaux).
Il y a aussi des portions où les gars de la voirie ont dû avoir une promo de ouf sur les gravillons. J’ai bien dû faire plus de 10 km sur des gravillons avec la crainte de percer le pneu.
Au final une belle sortie avec le plus beau D+ de l’année (pour le moment ;))
Dimanche 29 octobre, je suis parti exploré les environs de Pau en direction d’Aressy.
Ce jour là, j’ai pris mon VTT pour rouler car j’avais prévu de prendre des chemins roulants mais pas forcément adapté à un vélo de route. Plus je roule dans le coin et plus je me dis qu’un gravel sera l’arme ultime pour ma pratique (hors parcours en haute montagne où le VTT restera le Roi).
Je commence par une première étape au stade d’Eaux Vives où je tombe sur une compétition de kayak. C’est beau de voir autant de kayakistes sur le plan d’eau.
Sans le savoir, je passe devant la société qui a imprimé les étiquettes des accessoires et des vêtements de notre Princesse.
Je poursuis en direction d’Aressy via une route parallèle à la départementale. Bien que les routes béarnaises sont dans l’ensemble propres et propices à la pratique cycliste, rester loin des automobiles est toujours une première sécurité sur la route.
A Aressy, je fais une pause photo où le cadre est des plus jolis (malgré les quelques câbles électriques qui trainent dans le champ visuel)
Plus loin, je reprends une route paralléle qui est superbe. Elle longue la voie de chemin de fer et un petit ruisseau (sur la droite) et les champs (sur la gauche). Le tout avec un revêtement très roulant vu que c’est du bitume.
En partant vers Assat, je croise une route qui donne dans une ferme donc demi-tour (OSM est pas très à jour). Je prends une autre route et là, c’est un dalmatien qui souhaite discuter avec mon mollet. J’ai eu le petit coup d’adrénaline nécessaire m’a permit de prendre le large.
Viens ensuite le programme de la sortie, la grimpette sur le côteau sur lequel est érigé le château de Franqueville.
La fin de la sortie me permet de rentrer à la maison via Idron et Bizanos.
Faute d’avoir pris le temps de rédiger mes comptes-rendus et vu le peu de photo, je vais juste vous mettre mes parcours si cela peut vous inspirer lors de vos balades béarnaises.
Après deux week-ends de vélo dont je ne vous ai pas fait de résumé (faute de temps), je me rattrape aujourd’hui.
Ce samedi, sur les conseils de Michel, j’ai pris la direction du Sud et des côteaux du Jurançon. Je vous avoue que c’est un coin qui me fait encore un peu peur car c’est loin d’être plat comme la main.
Ce petit coin du Béarn est soit en faux plat montant, soit en faux plat descendant, soit en montée rude et en descente toute aussi impressionnante.
Mais c’est en roulant et en grimpant qu’on devient rouleur et grimpeur.
Et Michel n’avait pas tord en disant que les routes étaient vraiment très belles.
J’ai fait peu d’arrêts photos donc pas d’illustration pour cette fois.
A noter, que c’était ma première sortie en tenue full CCB.
Dimanche dernier, j’ai profité du beau temps pour m’élancer à la découverte de Pau et ses alentours avec le VTT.
Autour de Pau et dans le Béarn, il y a une multitude de chemins appelant à l’exploration. La plupart pourrait être emprunté avec un gravel. Mais pour cette balade, c’est le VTT qui a servi.
J’avais en tête d’aller voir le stade nautique de Pau (le centre d’entrainement de Tony Estanguet quand il faisait des compétitions) et de partir à l’assaut du château de Franqueville.
J’ai donc réalisé ces deux premiers objectifs avant de continuer sur le Chemin Henri IV qui relie Pau à Lourdes.
Au cours de mon cheminement, je n’ai pas pu ignorer les vaches dans le pré.
Avant de prendre le chemin du retour, j’ai pris cette dernière photo avec des Pyrénées magnifiques.
C’est cette vision qui m’a fait écourter la sortie. J’avais envie d’emmener ma Poupouille et mes enfants voir les montagnes. Et quoi de mieux que d’aller à la Foire aux Fromages de Laruns.
Pour les randonneurs du Béarn et d’ailleurs, voici une affiche de rando qui arrive bientôt.
Samedi 10 septembre, je profite de mon bon de sortie pour me tracer une petite boucle d’une quarantaine de kilomètres. (Spoiler : je n’ai même pas vu le 30ème kilomètre).
Je suis donc parti à la découverte de nouvelles routes et de bien sûr d’ambiance et de paysage. Le vélo c’est un sport magnifique quelque soit l’allure de la pratique. Je prends toujours du plaisir à admirer les paysages.
Ma première contrariété, c’est mon GPS Garmin Edge 830 qui a décidé de passer en mode économie d’énergie. A croire qu’il écoute plus les médias et les politiques que moi. Je ne vois plus le tracé en temps réel et il daigne même pas m’indiquer les changements de direction… Bilan, je m’élance dans une petite descente bien sympa et voilà qu’il me dit que je suis hors parcours… Je remonte donc la côté pour reprendre mon parcours.
Après cette première mésaventure, je poursuis ma balade. Je descends sur Idron. Je croise deux pépères dans leur pré.
A ce moment de ma sortie, je ne savais pas encore que j’allais affronter l’IdronBerg (tel est le nom donné à ce segment sur Strava). Pour un mont, il pique un peu avec ses 12%. Je reconnais que dans la bosse, je suis devenu temporairement piéton 😀
Mais cette ascension m’a permit de découvrir un bien joli quartier.
Ma balade se poursuit avec bonheur. J’ai même osé les mains en bas de mon cintre de route. Première fois que je suis à l’aise dans cette position. Et ça envoie du lourd. C’est génial.
A Nousty, je prends la direction de petites routes qui me le rendent bien.
Plus loin, le sommet du coin se dresse du haut de ses 2876m, je veux bien sûr parler du Pic du Midi.
En cette fin d’été, nos amis de la DDE rapiècent les routes avec leur célèbres mélanges de goudron et de graviers. Et vu que les graviers doivent être en promo, ils en mettent une bonne couche. En passant dans cette belle couche avec prudence, un des graviers à l’esprit voyageur a décidé de se coller à mon pneu arrière. Devant tant d’amour, mon pneu n’a pu retenir sa joie… Et paf, le pneu. La première couche est coupée sur 5 cm. Le préventif colmate le trou.
Je décide de poursuivre, mais à l’approche du cimétière d’Artigueloutan, mon pneu décide de donner son dernier soupir. Plus d’air. Je me dirige donc vers l’abribus pour passer en chambre à air. Et oui, le tubeless a beau être fiable, il faut toujours être prudent.
Le changement fait et la cartouche percutée, on peut reprendre son chemin. Je monte la petite bosse en direction de la route de Tarbes. De là, je décide de prendre la départementale plutôt que les chemins de traverse. je file à 30 km/h. J’en profite pour faire un arrêt pour découvrir ce que cache une stèle que je croise tous les jours en allant au travail.
Mais plus j’avance et plus je sens une hernie se former. Et ce qui devait arrivé, arriva. Le dernière couche de protection du pneu a décidé à son tour de rendre l’âme entrainant la fin de ma chambre à air. Oui, une chambre à air ce n’est pas un boyau.
Un cycliste s’est arrêté pour me proposer de me dépanner. Merci à lui s’il passe un jour sur mon blog. Malheureusement vu l’état du pneu, même une chambre à air neuve n’aurait rien pu faire. J’ai alors appelé mon assistance d’Amour qui est venu me chercher devant le poissonnier l’Hospital à Idron.
Au final, bien que je ne boucle pas mon périple pour la première fois de ma vie de cycliste, j’ai apprécié ma balade pour ses paysages et ses sensations.
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