Dimanche, après ma cinquantaine de kilomètres de la veille, je repars usé de la gomme sur les routes essonniennes.
Vu que le beau temps est là et que les températures sont au top, je sors pour la première fois de l’année en tenue courte : cuissard court et manches courtes. Que c’est bon. Il y a un an, on se caillait grave.
Vu que j’avais des doutes sur la tenue de mon pneu arrière, je suis parti pour rayonner autour d’Arpajon. Je me suis dit que ce serait bien d’aller rendre visite à ma bosse préférée et voir ce que je vaux dessus après 8 mois d’absence.
Mais avant d’arriver à Mauchamp, je passe dire bonjour à mes potes végétaux en évitant la piste cyclable un peu pourrie.
Je poursuis ensuite en direction de Saint-Sulpice de Favières. Arrivé à cet ancien BPF, je prends une photo de l’église de la commune.
J’inaugure pour la première fois dans la montée les photos en roulant.
En prenant la direction de Torfou, je prends en photo les parapentistes à moteur.
Cet hiver, le vent a du bien soufflé sur le plateau car les arbres ont les branches bien orientées. Maintenant, ils sont en fleurs.
A Linas, après la descente où j’ai claqué un petit 60 km/h, je croise un autocollant qui permet de suivre la route de Saint-Jacques-de-Compostelle. J’avais déjà croisé cet autocollant à Veigné en Indre-et-Loire. Je pense que je vais m’amuser à essayer d’en trouver d’autres.
Je poursuis en passant devant le château de Villevoison mais je ne peux m’arrêter pour prendre une photo. Par grave, je le ferai la prochaine fois.
La piste cyclable en direction de Saint-Vrain est un enfer car pleine de piétons qui ignorent mes coups de sonnette. Je me demande bien à quoi sert cet élément obligatoire d’après le code de la route si les gens l’ignorent.
Je continue mon chemin et je prends plaisir à emmener mon vélo les mains en bas du cintre. Je roule à 27/28 km/h sans forcer. Que du plaisir.
Au niveau du pont SNCF de la piste cyclable, je manque de peu l’accident avec une abrutie. Heureusement que j’ai pilé et que je roulais au pas. Cette vieille pensait que je m’amusais avec ma sonnette. Et donc n’a pas prêté une seule fois le moindre intérêt derrière elle. J’arrive au ralenti et voyant qu’elle reste à gauche, je commence à la passer par sa droite quand elle se rabat sur sa droite. Je lui hurle « ATTENTION » et je pile. Et elle ne s’excuse même pas. C’est triste. Inutile de perdre mon temps avec des cons, je poursuis donc ma route à bonne allure tout en ayant la banane de plaisir.
Faisant un détour par La Norville, je vais photographié l’église de la commune.
Ainsi s’achève un beau week-end, où j’ai bouclé environ une centaine de kilomètres de plaisir. Vivement le week-end prochain.
Bonne semaine.