Bonjour à tous,
Hier dimanche 28 janvier, par une belle journée printanière (températures flirtant avec les 20°C vers midi), j’ai entrepris de partir sur ma première bosse de l’année.
En terme de dénivelé, la sortie était dans ma moyenne actuelle. A la différence que le gros de ce D+ s’est situé sur une belle montée de 2 km entre Bénéjacq et Labatmale.
Mais avant ce petit passage « sportif », j’ai pu profité de la belle journée et du parcours d’approche.
Le début du parcours était orienté plein est ou presque ce qui m’a permit d’admirer les Pyrénées et le seigneur de Bigorre.
Ensuite, j’ai croisé un nouveau copain, qui lors de mon arrêt jouer dans son prè avec un morceau de bois. Quand il m’a vu, il est venu me voir.
Quelques kilomètres plus loin, je fais une pause photo devant l’église de Bénéjacq.
Après cette pause, j’attaque la bosse du parcours. Vu que je ne la connais pas, je m’attends à monter à mon rythme. Je ne suis pas un coursier et je ne le serai jamais.
Mon Karoo 2 m’indique le profil de la pente et le pourcentage de tous les hectomètres. Il n’y a plus qu’à se treuiller au sommet. Le plus dur n’était pas la pente mais les températures. Le tenue hivernale est parfaite pour les descentes et les passages à l’ombre. Elle l’est moins pour les grimpées au soleil.
Arrivé au sommet, on domine la vallée où se trouve Pontacq.
Le croisement au sommet permet de passer d’une vallée à l’autre et si on reste sur la crête, c’est qu’on parcours le Chemin Henri IV.
Après la traversée de Pontacq, je prends la direction de Livron par une petite route le long du plateau. Je ne savais pas que j’allais avoir une portion gravel. Mais c’est pas grave, un route en 25 mm passe partout 😉
Le chemin se termine par un beau monument en l’honneur de la Vierge.
Encore une bien belle balade sous des conditions météo de dingue. Que du bonheur.
@ bientôt