Bonjour à tous,
Ce week-end, la reprise du vélo a continué son envol.
En effet, j’ai été usé de la gomme sur de nouvelles routes béarnaises.
Autour de Pau, il n’est pas évident de trouver des parcours où vous ne vous prenez pas des côtes à 10% dans les jambes. J’avoue que je suis devenu un accroc aux préparations de parcours à l’aide d’OpenRunner ou de Komoot. Ca permet d’éviter les surprises.
Donc ce samedi, je suis parti sur un parcours soft. Il a commencé par la remontée du Boulevard de la Paix à Pau où la seule difficulté est d’avoir des feux rouges qui ont la fâcheuse tendance à rougir à votre arrivée 😀
Arrivé sur Lescar, on commence la partie campagnarde du parcours. On y croise aussi la première petite bosse qui passe presque crème.
Quelques kilomètres plus loin, en entrant sur la commune de Poey-de-Lescar, je bénis le fait de rouler en tubeless. En effet, un silex a décidé de faire une belle entaille dans la bande de roulement de mon pneu. Le préventif a fait son effet au bout de quelques dizaines de mètres. A aucun moment, je n’ai été en danger et à aucun moment le pneu était à plat.
Au passage, je tiens à remercier les deux cyclos qui m’ont demandé si j’avais besoin d’aide en me voyant arrêter sur le bas-côté. Ce n’est pas à Paris que l’on aurait vu cela.
Après ce petit moment mécanique bucolique, je continue mon parcours qui m’emmène à Bougarber. Très joli village béarnais où l’ancien salon de coiffure a gardé son jus d’antan et une belle porte d’un autre temps vous accueille.
Il en faut peu pour rendre un cyclo heureux.
Plus loin, un bel arbre trône fièrement au milieu des champs.
Mes coups de pédales m’amène à traverser un petit ruisseau qui a encore de l’eau. En cette période de sécheresse nationale, c’est un point à signaler.
Après un passage par un combo descente/montée, voilà que j’aperçois un tractopelle. Ni une, ni deux, c’est la photo pour Gepeto, mon fils. Il adore les tractopelles.
Quand je suis passé devant ce champ, j’ai eu une pensée pour Veloblan. Voilà de vraies vaches.
En passant par Caubios-Loos, je découvre une aire de pique-nique joliment décoré par les habitants. Ca valait bien quelques photos.
En poursuivant mon parcours à travers les champs de maïs, j’aperçu Jean-Pierre. Jean-Pierre c’est le surnom donné localement au Pic du Midi d’Ossau.
Pour finir, je m’arrête pour une dernière photo à l’entrée de la forêt de Bastard où je shoote un petit habitant de la forêt.
Au final, j’ai réussi à faire des bornes sans faire souffrir mon genou.
Ce fut une bonne balade. Maintenant, on va rajouter un peu de D+ aux prochaines sorties afin de se muscler un peu.