Bonjour,
Hier, j’ai de nouveau sorti mon Sobre en mode Gravel avec l’intention d’aller voir les gués de Soignolles-en-Brie.
Je m’élance donc vers 9h30 pour cette petite balade. J’ai décidé en vue des vacances de tester l’application Android d’Openrunner afin de valider son utilisation ou non.
A savoir, mon téléphone était fixé au cintre de mon vélo via un support Quadlock que je vais tester pour la première fois. J’avais un doute quant à la bonne tenue de la fixation universelle sur la coque car l’adhésif n’était pas censé tenir dessus. A la fin de la sortie, tout était encore là. Par conséquent le support est validé.
Mais revenons au but de ce billet, à savoir, le récit de ma balade.
Au bout de la rue Maurice Cardette à Yerres, j’opte pour une séance de portage dans les escaliers pour rejoindre le sentier des Roches. Cette option du parcours aurait pu se faire sur le vélo en contournant l’obstacle.
Mes tours de roue m’amène alors au chemin de la prairie à Yerres. Je découvre alors un chemin que je ne connaissais pas et qui me fait découvrir une autre vision de la plaine en Montgeron et Yerres.
Au bout du chemin, près des enclos du centre équestre, je prends un chemin qui longe l’Yerres et qui me fait rejoindre la voie verte le long de cette rivière.
« Petit tonnerre » broute paisiblement dans les près.
A la sortie de la voie verte près de la piscine de Yerres, je poursuis mon trip en allant récupérer le chemin des bulottes. Avant d’entreprendre le portage de mon vélo dans cette petite pente. J’ai eu une pensée aux dividers qui tentent de traverser la France sur la trace prévue par Samuel Becuwe, plus connue sous le nom de French Divide. Pourquoi cette pensée, car une montée impossible peut être parfois une bonne surprise au détour d’un chemin. A vous de juger avec la photo.
Le GPS me fait poursuivre ma découverte des chemins du Mont Griffon à Yerres. A la sortie du bois, je retrouve le « jardins des bébés », puis la rue Royale que je prends pour la première fois. Au bout de celle-ci, je récupère la rue des Dames qui est bien jolie rue.
J’emprunte la Tégéval jusqu’à retrouver le chemin des roses à Mandres-les-Roses. La Tégéval est toujours en cours de construction. Je suis tombé notamment sur un chantier de réhabilitation d’un ancien pont de chemin de fer qui permettait au train des roses de rejoindre Paris.
Le chemin des roses va me permettre de traverser Brie-Comte-Robert sur la route de Soignolles. Et le long de ce chemin, dans l’ancienne gare de Grisy-Suisne, se trouve le musée des roses.
A Coubert, je sors du chemin pour prendre une route parallèle. Sur cette route, un jeune lièvre me barre le chemin. Je le prends en photo et je repars. Autant vous dire qu’il m’a lâché en deux bonds. Je n’ai pas pu garder son sillage 😀
A Soignolles, je m’offre le passage des gués carrossés de la commune qui permettent de rejoindre Barneau. Sur le premier, j’ai fait peur aux jeunes alevins qui se réchauffaient aux rayons du soleil.
Depuis Barneau, j’ai coupé l’application Openrunner car mon téléphone commençait à être limite au niveau de la batterie. C’est bon à savoir pour les vacances, il faudra prévoir une batterie d’appoint.
En direction de Limoges-Fourches, je croise quelques « vaches » franciliennes 😉
Dans les champs autour de Villaroche, je me dis que le meeting du 9 septembre sera visible à des kilomètres à la ronde. C’est bien pour les spectateurs qui viendront le voir.
Peu avant Moissy-Cramayel, je tape dans mes réserves. Je pense que j’ai vu trop grand au vue de ma condition physique du moment et mon entrainement surtout.
A Lieusaint, j’ai essayé de voir s’il y avait un distributeur de boisson à la gare mais j’ai fait chou-blanc. J’ai donc continué à mon rythme de sénateur.
Au final, je suis très fier de moi. J’ai souffert sur la fin. Mais j’ai joué avec les alevins et bouclé ma meilleure performance de l’année.
Relive ‘Morning Aug 12th’
@ bientôt.